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| "Petit article" | |
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L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | Yohann
Nombre de messages : 516 Localisation : 95 Emploi : Clown colèrique a temps partiel ;-) Loisirs : Quelle question ! Date d'inscription : 20/08/2005
| Sujet: "Petit article" Mer 21 Sep 2005 - 22:40 | |
| Tant dans la légende que dans la réalité, le chien fut probablement le premier animal à être pleinement domestiqué. Il semble y avoir eu au moins deux races de chiens à une époque aussi reculée que l'an 8000 av. J-C Leur souche sauvage est encore discutée et ne sera peut-être jamais connue avec exactitude. Une opinion orthodoxe veut que le chien domestique soit issu du loup nordique, avec un croisement ultérieur possible avec le chacal. Nous disposons actuellement d'une information plus précise grâce aux squelettes de chiens mis à jour dans les grottes préhistoriques; de plus, nous possédons des études modernes concernant le comportement des membres de la famille du chien. Comme les savants le pensent depuis ces quarante dernières années, la confrontation de ces nouvelles idées permet de penser que l'ancêtre du chien domestique peut avoir été un chien sauvage, d'une espèce distincte du loup ou du chacal, éteinte depuis fort longtemps. Aucun autre animal domestique n'offre une gamme plus vaste de tailles, de couleurs, de pelages et de comportements que le chien. Le plus petit étant le chihuahua, race obtenue à partir du chien mexicain à poils ras, qui mesure de 15 à 23 cm environ et peut peser jusqu'à 2,8 kg, le plus petit ne pesant que quelque 850 gr. Les plus grands sont représentés par le saint-bernard et le mastiff qui ont respectivement 70 et 75 cm de hauteur, l'un pesait environ 90 kg et l'autre 75 kg. Entre ces deux extrêmes, on trouve des animaux aussi différents que le danois et le scottish terrier, le lévrier et le bouledogue, le chien-loup et le teckel pour ne citer que quelques exemples. DES ORIGINES A LA CONQUÊTE ROMAINE C'est à l'époque intermédiaire entre le paléolithique et le néolithique, il y a environ quinze mille ans, qu'apparaît en Europe le chien dans la société humaine. Ce lointain ancêtre déjà domestiqué descend probablement du tomarctus, prédateur bas sur pattes, aïeul du loup et du chacal. Le chien domestique ou Canis Familiaris, dénommé ainsi par Linné, naturaliste suédois du XVIIIe siècle, appartient à cette même famille zoologique, celle des canidés. De ce premier contact entre l'homme primitif et le chien encore à l'état sauvage devait naître un lien étroit qui ne fit que s'amplifier à travers les âges. On trouve des ossements de chiens auprès de squelettes humains dans les stations du néolithique. Le problème se complique du fait qu'il y a dix mille ans, selon les découvertes des archéologues et autres spécialistes, il y eut des chiens domestiques en Asie, en Egypte et en Europe, peut-être même en Amérique du Nord, bien qu'en ce qui concerne le Nouveau Monde les preuves fussent moins évidentes. Or, dans chacune de ces régions, il existait déjà plus d'une race. Le "chien des tourbières" A ce Canis Familiaris Putjani, première race connue, s'ajoute bientôt un autre chien, le Canis Familiaris Palustris, dit "des tourbières". On peut raisonnablement admettre que cet animal attentif et volontiers agressif fut très tôt un auxiliaire du chasseur et un gardien. Implanté principalement au nord de l'Europe où il servait déjà de chien de traîneaux, des gravures naïves sur bois de renne en témoignent, le "chien des tourbières" va, deux mille ans avant la première grande civilisation égyptienne, envahir le globe dans quatre directions: Vers l'est (Russie, Europe centrale et Asie), le sud-est (Moyen-Orient), l'ouest (Angleterre) et le sud (Espagne) où l'on trouve encore de nos jours un chien fort semblable. D'Espagne il passe en Afrique du Nord, alors que le canidé est inconnu dans ces régions. Son arrivée coïncide avec l'apparition des premiers chiens égyptiens, eux-mêmes venus d'Orient. Le Canis Palustris est aussi le frère d'un chien dont les ossements ont été découverts dans les tombes anciennes de Mélanésie et de Polynésie. Datant de cette époque, les fresques rupestres d'Allemagne occidentale ne nous montrent qu'une seule race de type Spitz, à oreilles droites et à queue enroulée sur le dos, qui est, à n'en pas douter, un "chien des tourbières". En Espagne par contre, d'autres fresques schématisent deux races distinctes: l'une s'identifie aux représentations allemandes, l'autre à un genre de berger proche du beauceron, à oreilles cassées et à queue moins touffue. Age du bronze: quatre types En Europe septentrionale, un autre type de chien apparaît à l'âge du bronze. Le Canis Familiaris Inostranzewi, ancêtre des molosses, du dogue du Tibet, du chien des Pyrénées, du terre-neuve et de tous les bouviers. A l'âge du bronze également, la race canine s'enrichit du Canis Familiaris Metris-Optimae. Ce chien accompagnait les asiatiques, forgerons et fondeurs, qui introduiront en Europe les objets, ustensiles et armes de métal. Animal éminemment respectable puisque l'on reconnaît généralement en lui l'ancêtre du berger persan, du berger allemand et de tous les chiens de berger. Le Metris-Optimae serait issu d'un croisement avec le loup indien. Son aspect général est assez proche d'un chien sauvage originaire d'Australie, le dingo. Le Canis Familiaris Intermedius est contemporain de la fin de la période préhistorique. On le dit croisé avec le "chien des tourbières" et le loup. Ce qui expliquerait en partie sa descendance: les chiens de traîneaux comme le samoyède à la queue enroulée du spitz et aux yeux de loup, l'épagneul du Tibet, le barbet. Il est considéré également comme l'ancêtre des braques et des épagneuls. Avec le Canis Familiaris Leineri se présente le produit raffiné d'une sélection dont l'origine est inconnue. Qu'elle soit spontanée ou délibérée, ses résultats ont été remarquables. Certains naturalistes ont admis que ce lévrier pourrait avoir été engendré du croisement de chiens et de chacals. Quoi qu'il en soit, il est attesté que les lettres de noblesse du lévrier remontent à la préhistoire. Les chiens sont toutefois rares dans les représentations préhistoriques. La scène de chasse au sanglier de Hultane (conservée au musée de Göteborg) est exceptionnelle. Elle figure nettement un chasseur, armé d'un arc, entouré d'une dizaine de chiens. Dans la région saharienne du Tassili, des peintures rupestres représentent des chiens de chasse de deux espèces précisément caractérisées. Les uns à tête large et pattes relativement courtes portent la queue basse. Les autres appartiennent à l'espèce Leineri. Leur silhouette déliée et leur queue enroulée permettent de les identifier. Ce sont des lévriers. Les races égyptiennes De tels chiens sont assez abondamment représentés en Egypte. Il est difficile de savoir si Anubis, le dieu des morts, est un chien ou un chacal, encore que les archéologues aient généralement opté pour la première version. Au demeurant, les chiens d'Egypte varieront avec les époques. Une stèle d'Antiffa II datant de la Xe dynastie nous montre les principales races existantes au temps des pharaons. On distingue un lévrier de Dalmatie, de provenance nubienne, dont on se sert encore pour chasser les gazelles, un genre de dingo, un molosse et un chien de garde bas sur pattes. Au Moyen Empire (vers 2000 ans avant l'ère chrétienne) apparaît le basset. Son passage dans l'histoire d'Egypte sera bref. On ne le retrouve plus au Nouvel Empire. avec lui paraissent avoir aussi disparu les anciens sloughis à la queue enroulée et les chiens de garde de taille moyenne aux oreilles droites. Le chien le plus commun au Nouvel Empire est un lévrier haut sur pattes et à longue queue. Ses oreilles, assez grandes, sont parfois droites, parfois tombantes. De l'invasion des Hyksos, qui survint au cours de la période précédente, l'Egypte conserva les molosses. Ces chiens puissants et belliqueux devinrent les auxiliaires des combattants. Ils sont figurés courant auprès des chars de leur maître et accablant les ennemis en fuite. Le jeune Toutankhamon s'est ainsi fait représenter poursuivant des Nubiens. Sumériens et Assyriens employaient eux aussi communément les molosses à la chasse et à la guerre. Les admirables bas reliefs exécutés sous le règne d'Assourbanipal (VIe siècle av. J-C) témoignent des services que rendaient ces animaux. Mais, qu'ils aient été lévriers ou molosses, les chiens d'Egypte étaient respectés. Il était interdit de les tuer sous peine de mort. On en a retrouvé momifiés dans le tombeau de leur maître. En raison même de l'amitié des Egyptiens à l'égard de leurs chiens, on suppose que ces animaux n'étaient pas sacrifiés à la mort de leur propriétaire pour accompagner celui-ci dans l'au-delà, mais qu'ils étaient momifiés après leur mort naturelle. Il n'en allait pas ainsi au Mexique où le chien familier était immolé lors de la mort de son maître afin qu'il puisse lui rendre dans l'autre monde les services qui lui avaient été rendus dans celui-ci. La participation du chien aux rites funéraires était d'ailleurs commune à de nombreuses civilisations En Chine des chiens étaient sacrifiés dans des cérémonies funèbres. Au japon, le dieu du suicide était figuré par un personnage cynocéphale. Grèce: Ulysse et "Argos" Mais s'il est un pays qui mérite, quant au ,chien, une considération particulière, c'est bien la Grèce. Le chien apparaît effectivement dans d'innombrables épisodes de la légende et de l'histoire grecques. Un des plus illustres de ces animaux est celui qui, selon Homère, fut forgé par Vulcain. Il était d'airain mais son créateur lui ayant insufflé vie l'offrit à Zeus, Il faut croire qu'à l'époque homérique les chiens étaient déjà estimés, puisque le maître des dieux offrit cet animal à Europe, fille du roi de Phénicie, afin d'obtenir les faveurs de celle-ci. | |
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| Sujet: Re: "Petit article" Mer 21 Sep 2005 - 22:40 | |
| C'est encore Homère qui a conté l'histoire d"'Argos" le chien d'Ulysse, qui délaissé après le départ de son maître le reconnut dès son retour à Ithaque et en mourut de joie. Dès qu'il sentit Ulysse près de lui, il remua la queue aussitôt et baissa les oreilles; mais il n'eut pas la force d'aller plus près encore de son maître. Ulysse, à cette vue, essuya une larme et interrogea le porcher Eumée (qui, lui, ne l'avait pas reconnu) sur le sort de cet animal malheureux. "Ce chien, répondit Eumée, est celui d'un homme qui est mort loin d'ici. Si, pour la taille et l'activité, il était tel qu'Ulysse le laissa en partant pour Troie, tu serais tout de suite émerveillé de son agilité et de son ardeur. La bête qu'il avait fait lever ne pouvait plus échapper dans les profondeurs de la forêt épaisse; car il excellait à suivre une piste. Maintenant il est en proie à la souffrance. Le maître a péri autre part que dans sa patrie, et les femmes négligentes ne soignent pas le chien !... Pour Argos, la sombre Parque de la mort s'empare de lui." Il est vrai que l'absence d'Ulysse ayant duré vingt ans, le fidèle animal avait atteint un âge exceptionnel qui ne lui permettait évidemment pas de supporter des émotions trop vives. On sait, par la biographie d'Alcibiade, que certains chiens pouvaient atteindre à Athènes un prix fort élevé puisque ce personnage avait acheté un bichon pour la somme fabuleuse de 7000 drachmes (l'équivalent de 3500 euros ). Cet extravagant fit couper la queue de l'animal afin de scandaliser l'opinion. Pendant quelque temps, on ne parla effectivement que de lui. Sans le moindre souci de publicité, mais par simple témoignage d'attachement, Xanthippe, femme de Socrate, fit inhumer son chien sur un promontoire, au bord de la mer. Esope, dans ses "Fables", traite souvent du chien. On oublie communément que l'apophtegme (si souvent exploité) de celui qui "lâche sa proie pour l'ombre" est l'oeuvre de cet auteur. Mais le chien n'était pas en Grèce qu'un héros de légende. Attaquée par surprise, tandis que sa garnison sommeillait, la citadelle de Corinthe fut vaillamment défendue par les chiens préposés à sa garde. Ils étaient cinquante; le seul qui survécut, "Sôter", parvint à alerter la population et la ville fut sauvée. En témoignage de reconnaissance pour ces auxiliaires qui avaient été plus. vigilants que les soldats, les habitants consacrèrent un monument à la mémoire de leurs quarante-neuf sauveteurs morts en combattant. Quant au rescapé, il fut honoré, pensionné et placé sous la protection de la cité. Xénophon qui publia un traité de vénerie donne peu de précisions sur les chiens de son temps, mais Aristote est, en revanche, plus prolixe. Il énumère sept races de chiens, de l'épirote, berger grand et fort, au mélitéen (ancêtre du bichon maltais), petit et délicat. Entre ces extrêmes, il cite les chiens de Laconie, pour la garde, des Molosses, pour la chasse, de Cyrène, d'Egypte et d'Inde. Sociable à l'extrême Outre son intelligence et sa force vitale, c'est la nature sociable du chien qui a fait de lui un auxiliaire si précieux pour l'homme. On dit souvent que le chien domestique est un animal qui aime vivre en bandes et que cela seul tendrait à prouver son hérédité de loup. En fait, les recherches modernes sur le loup de l'Amérique du Nord démentiraient cette idée. On croit désormais que les histoires de loups chassant en bandes sont fausses et que la vérité veut que les loups s'assemblent normalement en groupes ne dépassant pas le cadre de la famille. Plusieurs familles se grouperaient temporairement dans des circonstances exceptionnelles, telles que la disette, tout en conservant au sein du groupe leur identité personnelle. Les chiens domestiques vivant à l'état sauvage (là où ils sont nombreux, comme en Australie par exemple) forment des bandes, apparemment semblables à celles des lycaons. Quelle que soit la souche du chien domestique (et la manière dont s'est effectuée la domestication) cet animal agit comme un être sociable, s'attachant plus particulièrement à une seule personne, à laquelle il témoignera, au plus haut degré, sa volonté de coopération. Il est prompt à souffrir de la solitude, ce qui indique que son ancêtre n'était pas de nature solitaire. L'habitude de délimiter leur territoire en urinant entre dans les moeurs des chiens sauvages de toutes les espèces, et un chien retourne périodiquement à ces repères, les renouvelant, déterminant par l'odorat quels autres chiens y ont pénétré. Cette manière d'établir les frontières des territoires présente des inconvénients dans le monde civilisé, mais elle est probablement inhérente à cette notion de propriété qui donne au chien sa plus précieuse qualité: celle de chien de garde et de défense. 40 millions d'années "Miacis" * Ancêtre de tous les mammifères carnivores, 30 millions d'années. Cynodictis européen. Ancêtre des canidés, des ours et des ratons laveurs. Apparition du Daphaenus et du Cynodesmus sur le continent américain. 15 à 10 millions d'années Tomarctus. Descendant du Cynodesmus. Ancêtre probable de tous les chiens. 500000 ans avant J-C. Homme préhistorique. 200000 ans avant J-C : apparition en Allemagne et en Amérique du "Canis Lupus" (loup), du "Canis Sinensis" en Chine, du coyote en Amérique, du renard et du chacal en Europe. 30000 à 15000 ans avant J-C. Invasion de l'Europe par la race de Grimaldi. Pas trace de canidés en Afrique à cette époque. Epoque dite de la "grande chasse". Pas de représentation de chiens sur les fresques rupestres. 15000 à 10000 ans avant J-C Néolithique supérieur, fin de l'époque magdalénienne. Apparition du chien domestiqué. Fresques magdaléniennes en Espagne. Squelettes de chiens et squelettes d'hommes découverts en Russie à Afontova-Gora entre Tomsk et le lac Baïkal. Chien sans oreilles, à la queue longue. Gravure rupestre de la Cueva de la Vieia à Algera en Espagne. 10000 à 6000 ans avant J-C Apparition du Canis Familiaris Palustris ou Chien des Tourbières, ancêtre des races de type Spitz: Samoyède, Grand Spitz, Chow-chow, Spitz Loup. Découverte de restes de chiens près du Kjoekkenmadding (débris de cuisine des habitants primitifs du Danemark). Homme de Maglemose en Scandinavie. Apparition des premiers chiens au Proche Orient, berceau de la plupart des races canines. Invention de l'arc. Gravures rupestres du Tassili en Afrique du Nord. Premiers attelages de chiens au Nord de l'Europe. A Star Carr en Angleterre, découverte d'une station pré-boréale où l'homme et le chien cohabitaient vers 7500 ans a van t J-C. En Iran, vestiges de civilisations agricoles utilisant le chien, Vers 4000 ans avant J-C Chiens utilisés à la chasse en Egypte, en Mésopotamie, au Sahara, en Scandinavie, en Allemagne orientale et en Hongrie. Premières cultures tropicales aux Indes. Apparition du chien domestiqué. Peuplement de l'Amérique en hommes et en chiens. Première civilisation égyptienne. Apparition du lévrier. 3000 à 2000 ans avant J-C Invention de l'écriture. En Egypte, époque de Ménès, 1ere dynastie: représentation d'un lévrier du type Podenco ou lévrier des Baléares avec queue tantôt courte, tantôt enroulée sur le dos. Ve dynastie de l'Ancien Empire, tombe de Ti: représentations de types divers du lévrier jusqu'au grand Spitz. Xe dynastie du Moyen Empire: Stèle d'Antiffa Il représentant le lévrier dit de Dalmatie, un molosse et un chien de garde bas sur pattes. Peintures rupestres sumériennes montrant un lévrier type Podenco et d'autres chiens à oreilles tombantes, type Saint Hubert. Apparition du Dogue du Tibet, ancêtre de tous les dogues. Du Tibet, les Dogues gagnent le Moyen Orient où les Assyriens les utilisent au combat et à la garde des prisonniers. 2000 à 1000 ans avant J-C Chiens de chasse importés d'Ethiopie en Egypte, au Nouvel Empire. Art phénicien: scènes de chasse, fouilles de Ras Shamra. Vers 1300 ans avant J-C, invasion hittite et utilisation du chien de guerre. Chine: bronze de la première dynastie chinoise représentant trois races de chiens. Situle de Bologne, en Italie, représentant un molosse ramené du Moyen Orient par les Romains. Ce chien ressemble à un Dogue de Bordeaux. Invasion des Celtes en Europe accompagnés de leurs chiens de combat. 1000 ans avant J-C à l'ère chrétienne En Grèce, Aristote énumère sept races de chiens, dont les chiens de Laconie, les molosses, le Mélitéen ancêtre du Bichon maltais et l'Epirote, chien de berger grand et fort. Chiens figurant sur une roue: religion celte au Ve siècle avant J-C (Rite de la roue enflammée.) Alexandre le Grand et ses molosses à la conquête des Indes. César et le Canis Pugnaces, chien féroce des arènes, envahissent l'Europe. Ovide dresse un tableau des différentes races de chiens, tandis que Varron, dans son "De re rustica", en cite cinq principales: le molosse, le chien de garde, le chien de chasse, le bichon et un mâtin. Panorama des chiens au néolithique Reconstitution de fresques rupestres d'Europe et d'Afrique du Nord. Tous ces chiens sont apparentés au Canis Palustris ou Chien des Tourbières (type Spitz: oreilles dressées et queue enroulée sur le dos). Panorama des chiens égyptiens : On reconnaît : Le Chien de Garde à pattes torses (1), Le Molosse d'Epire (2), Le Lévrier De Dalmatie (3). Parmi de nombreux types de lévriers représentés, figurent l'ancêtre du Lévrier arabe ou Sloughi (4) et le Chien du Pharaon (5) qui donnera naissance au Lévrier des Baléares. Tombes de Thèbes. © B.P.C.Publishing Limited Textes de Maurice Cottaz et du Dr Pierre Rousselet-Blanc, croquis extraits de l'ouvrage "Le grand livre du chien" de Michel Vilmont et Eric Tschumi. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Petit article" Jeu 22 Sep 2005 - 6:26 | |
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| | | alaska Grand explorateur
Nombre de messages : 507 Age : 38 Localisation : Lyon Emploi : Technicienne vétérinaire Loisirs : Equitation Date d'inscription : 16/06/2005
| Sujet: Re: "Petit article" Jeu 22 Sep 2005 - 11:35 | |
| Tu veux nous achever Yoyo? | |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | Yohann
Nombre de messages : 516 Localisation : 95 Emploi : Clown colèrique a temps partiel ;-) Loisirs : Quelle question ! Date d'inscription : 20/08/2005
| | | | alaska Grand explorateur
Nombre de messages : 507 Age : 38 Localisation : Lyon Emploi : Technicienne vétérinaire Loisirs : Equitation Date d'inscription : 16/06/2005
| Sujet: Re: "Petit article" Jeu 22 Sep 2005 - 13:07 | |
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| | | Invité Invité
| | | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | Yohann
Nombre de messages : 516 Localisation : 95 Emploi : Clown colèrique a temps partiel ;-) Loisirs : Quelle question ! Date d'inscription : 20/08/2005
| Sujet: Re: "Petit article" Jeu 22 Sep 2005 - 13:51 | |
| Voilà je vous apporte de la lecture autre que voilà, télé7 jours, ici paris pour vos longues soirées d'hivers et vous êtes pas content, pffffff :roll: | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Petit article" Jeu 22 Sep 2005 - 17:10 | |
| - Yohann a écrit:
- Voilà je vous apporte de la lecture autre que voilà, télé7 jours, ici paris pour vos longues soirées d'hivers et vous êtes pas content, pffffff :roll:
Meuh noooon on le lira , et on lit aussi Gala, paris Match, Le bulletin de la féfé, Revue chien 2000 ... on est pas très selectif !! |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | Yohann
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| | | | alaska Grand explorateur
Nombre de messages : 507 Age : 38 Localisation : Lyon Emploi : Technicienne vétérinaire Loisirs : Equitation Date d'inscription : 16/06/2005
| Sujet: Re: "Petit article" Jeu 22 Sep 2005 - 23:30 | |
| Je viens d'imprimer tout cet article et je vais le lire ce soir au lit. Je vous en dirais des nouvelles demain | |
| | | | "Petit article" | |
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