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 Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09

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Roska
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MessageSujet: Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09   Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09 Icon_minitimeLun 31 Aoû 2009 - 21:08

Source : http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/08/31/polemique-sur-l-experimentation-animale-en-europe_1233738_3244.html

Votre avis ?




Pour protéger les Européens contre les effets des produits chimiques, faudra-t-il sacrifier 54 millions d'animaux de laboratoire au cours de la prochaine décennie, et non 2,5 millions, comme estimé à l'origine par les promoteurs du règlement Reach (Enregistrement, évaluation, autorisation et restriction relatifs aux substances chimiques) ? Le coût pour l'industrie de ces expérimentations animales s'élèvera-t-il à 9,5 milliards d'euros, soit six fois plus que le "devis" initial envisagé par les autorités européennes ?


Le débat a été lancé dans la revue scientifique Nature, qui a publié, jeudi 27 août, une tribune dans laquelle le toxicologue Thomas Hartung (Johns Hopkins University, Baltimore, Maryland) et Costanza Rovida, une chimiste italienne, estiment que l'Europe ne pourra pas relever le défi posé par Reach.

De quoi s'agit-il ? Entré en vigueur en 2007, Reach met en demeure l'industrie chimique européenne de répondre, d'ici à dix ans, à la question suivante : les produits commercialisés avant 1981, qui représentent encore 99 % en volume des molécules présentes sur le marché, sont-ils sûrs pour la santé humaine et l'environnement ? Reach prévoit des analyses toxicologiques systématiques pour certaines classes de ces substances et a renversé la charge de la preuve : ce sont les industriels qui doivent démontrer que ces molécules sont sans impact sur la population.

Cette révolution est en cours : fin 2008, 65 000 entreprises avaient "préenregistré" 140 000 substances à analyser. Sachant que, jusqu'alors, l'Europe n'évaluait que quelques centaines de molécules par an, l'objectif de Reach paraît intenable aux signataires de l'article de Nature. "La toxicologie réglementaire n'a ni les méthodes à haut-débit ni les techniques alternatives à l'expérimentation animale pour tenir l'objectif", estiment-ils, appelant à un moratoire sur les tests de toxicologie de la reproduction (soit la majorité des tests sur animaux) tant que des alternatives ne seront pas approuvées.

Thomas Hartung n'est pas le premier toxicologue venu. Jusqu'à il y a peu, il dirigeait le Centre européen pour la validation des méthodes alternatives, un laboratoire de la Commission européenne. Il copréside le septième congrès mondial sur les alternatives à l'utilisation de l'animal dans les sciences de la vie, qui se tient jusqu'au jeudi 3 septembre à Rome. Le 9 juillet, il avait déjà publié, dans Nature, un article rappelant que l'homme "n'est pas un rat de 70 kg", où il appelait à une révolution de la toxicologie.

Que penser de ces estimations ? "J'ai le sentiment qu'il a systématiquement choisi les fourchettes hautes", note Eric Thybaud, de l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris). Certes, admet Eric Thybaud, les premières évaluations du coût de Reach étaient fondées sur une Europe à 12 membres, et non 27. Certes, cela augmente le nombre de substances à évaluer, mais toutes ne sont pas produites dans les tonnages nécessitant les tests les plus "gourmands" en animaux. Eric Thybaud concède que les méthodes alternatives méritent d'être développées plus avant, "le paradoxe étant que, dans un premier temps, pour y parvenir, il va falloir augmenter l'expérimentation animale".

Pour le directeur général de l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset), Martin Guespereau, l'argumentaire de Thomas Hartung est assez proche de celui de l'industrie chimique : Reach serait infaisable et trop cher. "La question du coût donne lieu à des évaluations très variables, rappelle-t-il. Mais l'Europe estime le bénéfice à 50 milliards sur trente ans, en raison notamment du nombre de morts humaines évitées."

Sans surprise, la Commission européenne conteste les conclusions de l'article de Nature. D'après Ton Van Lierop, porte-parole du commissaire européen chargé de l'industrie, le nombre des substances enregistrées devrait au final rester proche des estimations initiales, soit quelque 30 000 produits.

Quant aux tests sur les animaux, la commission affirme vouloir les limiter, par le partage de données entre les industriels et les tests alternatifs. "Ils ne sont pas impératifs avant l'enregistrement définitif des produits. Il s'agit de proposer une méthode d'évaluation, c'est ensuite à l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) de dire s'il faut passer aux tests", assure M. Van Lierop.

Dans un communiqué diffusé le 28 août, l'ECHA affirme que l'analyse publiée dans Nature est "inexacte" et qu'elle surévalue par six le nombre d'animaux nécessaires. Mais elle reconnaît qu'il en faudra 9 millions et non 2,6 millions, comme avancé en 2004. Pour l'ECHA, le coût de ces tests sera bien de 1,3 milliard d'euros, et non 9,5 milliards.

L'industrie chimique reste, quant à elle, prudente sur les chiffres. "Nous ne disposons pas encore de l'inventaire des données toxicologiques manquantes, qui déterminera in fine le volume des essais animaux à faire", note Catherine Lequime, responsable Reach à l'Union des industries chimiques française.

Thomas Hartung maintient son analyse : "J'aimerais qu'on me prouve en quoi nos chiffres sont faux, car je veux que Reach réussisse. Mais nous démontrons que le test de reproduction constitue à lui seul un goulot d'étranglement. Il faut en tenir compte pour amender le système. Refuser des calculs relativement simples ne changera rien à l'affaire."

L'article de Nature va donner de précieux arguments aux associations de défense des animaux, qui se sont manifestées dans le même sens au mois d'août. D'après ces organisations, les obligations introduites par Reach "pourraient se traduire en souffrances et décès inutiles de plus de 4 millions d'animaux". La mécanique de Reach, ajoutent-elles, pousserait l'industrie à effectuer des "tests préemptifs", afin de respecter les délais, et non en dernier recours, comme stipulé par le règlement européen.

Hervé Morin et Philippe Ricard
Article paru dans l'édition du 01.09.09.
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Eliza
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MessageSujet: Re: Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09   Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09 Icon_minitimeMar 1 Sep 2009 - 21:21

J'avais lu dans une revue (Bio) que la France était le pays d'Europe avec le + grand nombre d'animaux utilisé pour l'expérimentatio...

Perso ça fait des années que je n'achete pas de produit testé sur animaux.
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MessageSujet: Re: Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09   Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09 Icon_minitimeJeu 22 Oct 2009 - 2:38

Roska,

je viens de lire ton article avec attention et je souhaite réagir à chaud sur ce que je viens de lire.
Dans le cadre de la mise en place de REACH dans mon entreprise, j'ai donc été contrainte d'étudier cette nouvelle directive européenne.
Je ne suis pas une experte concernant ces étapes car nous n'avions pas de dossier d'enregistrement à constituer mais je vais te dire ce que moi j'en ai compris et donc ce que j'en pense.

Tout d'abord, il est vrai que ce règlement est très compliqué et qu'il demande plusieurs grandes étapes.
En quelques mots, jusqu'au 1er décembre 2008, nous étions dans l'étape du pré-enregistrement, c'est à dire que toutes les entreprises de l'UE devaient déclarer à l'ECHA (Agence Européenne des Produits Chimiques) toutes les substances quelles produisaient ou importaient à plus de 1 tonne par an afin de bénéficier d'un délai pour l'étape de l'enregistrement (variable selon les tonnages déclarés et la dangerosité de la substance).
Suite à ce pré-enregistrement, toutes les entreprises qui produisent ou importe une même substance sont mises en relation afin de constituer un seul dossier d'enregistrement par substance.
Concernant les essais pour évaluer les dangers, ils sont très réglementés de par le règlement REACH, de part le nouveau règlement européen (CLP) concernant les étiquetages et classifications des produits chimiques et bien sûr de part toutes les conventions européennes ou règlements pour les laboratoires (auquel REACH fait référence).

C'est un gros résumé de ce règlement que j'ai essayé de faire simple et compréhensible mais qu'il est important d'avoir en tête pour comprendre en quoi il consiste.

Ce que j'en pense, c'est que de toute façon, on peut pas faire pire que ce qui peut être fait actuellement.

Citation :
Reach prévoit des analyses toxicologiques systématiques pour certaines classes de ces substances et a renversé la charge de la preuve : ce sont les industriels qui doivent démontrer que ces molécules sont sans impact sur la population.
Il est bien précisé pour CERTAINES classes de ces substances.
Effectivement, aujourd'hui, la charge de la preuve est renversée, ce qui va obliger les entreprises a les rendre responsables de ce qu'ils produisent.Ils ne pourront plus fermer les yeux sur ce qu'ils mettent sur le marché puisqu'ils devront prouver la non-dangerosité avant de la mettre sur le marché (ce qui n'est pas le cas actuellement).
En plus, il ne faut pas oublier que les entreprises devront se regrouper pour monter les dossiers d'enregistrements (entre autre les essais sur les animaux), ce qui tuera quand même beaucoup moins d'animaux à mon avis que si tout le monde le fait chacun de son côté.
Le fait de passer d'une Europe de 12 pays à 27, réduit d'autant plus les nombres d'essais.

Ces règlements stipulent bien que les essais sur les animaux sont à faire en dernier recours, il y a pleins d'étapes à faire avant (que je ne saurais vous expliquer car je ne me suis pas penchée sur la question).

Citation :
La mécanique de Reach, ajoutent-elles, pousserait l'industrie à effectuer des "tests préemptifs", afin de respecter les délais, et non en dernier recours, comme stipulé par le règlement européen.
Si les entreprises respectent les délais et croyez-moi, elles ont plutôt intérêt vu les impacts financiers derrière, et qu'elles respectent tous ces règlement, je ne crois pas que ce règlement les pousseraient à faire des analyses "au cas où". Il ne faut jamais oublier qu'un patron d'entreprise prend des décisions avec son porte-monnaie et que des analyses de ce genres coutent une fortune.

Enfin ce qu'il faut voir, c'est vrai que sans ce règlement, beaucoup de substances ne seraient pas étudiées (donc moins d'essais sur les animaux) mais quels sont les dégâts ensuite durant leurs utilisations??
Pour exemple, les crèmes solaires : les scientifiques ont prouvés que la crème solaires étaient un vrai poison pour la mer et qu'elle détruisait les corails, les algues ou tout ce genre de chose. Et pourtant tout le monde ferme les yeux.
Et je ne parle pas de tous les produits chimiques que l'on peut utiliser en industrie !!!!!
L'obligation de faire ses propres tests obligera les entreprises à communiquer sur ce genres de résultats avant de les commercialiser !!

Voilà, je reste donc plutôt optimiste sur ce sujet, en espérant que je ne me tromperais pas !!

J'espère t'avoir donné quelques pistes de réflexions !!

Si des gens ont des avis différents du mien, je serais ravie de les connaître pour avoir une autre vision des choses.
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MessageSujet: Re: Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09   Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09 Icon_minitimeJeu 22 Oct 2009 - 11:53

C'est accablant tout ça, je sais que pour éviter les tests sur les animaux, a mon échelle, pour tout ce qui est cosmétique, produits d'entretiens, produits d'hygiène corporel et des surfaces, je boycotte, tout produit testé sur les animaux et qui ne respecte pas l'environnement ainsi que moi même.

Coluche disait :"dire qu'il suffirait de ne pas les acheter pour que cela ne se vendent pas!" il avait bien raison, les consommateurs ont eux aussi un rôle à jouer.
Pour la planète certes mais aussi pour leur propre santé, j'irai même jusqu'à dire pour leur survie....Le magasine "Santé Magasine" traite bien souvent de tous ces sujets bien avant qu'on en parle dans les médiats.
Il est souvent montré du doigt par les scientifiques de ces laboratoires, on ce demande bien pourquoi???
L'aluminium, le paraben, les vaccins, les traitements médicamenteux, et d'autres aux noms barbare, cela fait des années qu'ils dénoncent les effet secondaires graves qu'entraîne ces substances sur l'organisme, on commence seulement à en parler.

Depuis combien de temps sommes nous contaminé?
Quel est le but de faire des expériences sur des animaux, puisque c'est nous qui sommes les cobayes!!!
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Sonia S
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MessageSujet: Re: Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09   Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09 Icon_minitimeMar 27 Oct 2009 - 22:20

Aucune polémique à ce sujet ne devrait être tolérée.
L'expérimentation animal ne sert à rien d'autre qu'à remplir les poches des firmes pharmaceutiques et Co, elle n'a jamais fait avancer la science et elle ne le fera jamais car l'animal ne fonctionne pas comme l'humain, et bien au contraire elle a retardé les progrès de la médecine car ce qu'un chien ou un lapin ne support pas l'humain lui le supporte ou inversement.

Ex:

- La digitaline (remède aux maladies cardiaques) resta longtemps inutilisée parce qu’elle fut d’abord testée sur des chiens (toxique pour eux).

- La morphine n’a été utilisée que très tardivement pour calmer et anesthésier les patients car testée d’abord sur des chiens, elle leur provoque une excitation maniaque.

- Le chloroforme est si toxique pour les chiens, chats et lapins que son emploi comme anesthésique pour l’humain en fut retardé pendant de nombreuses années.

- La tuberculine de Robert Koch (qui reçut un Prix Nobel pour cette découverte) considérée autrefois comme le vaccin contre la tuberculose parce qu’elle tue le bacille de Koch chez le cochon d’Inde, provoque au contraire la tuberculose chez l’homme.

- La pénicilline (antibiotique) a été retardée à cause des tests sur animaux en particulier des lapins. Nous savons maintenant que les lapins excrètent la pénicilline de leur urine rapidement, elle est donc éliminée avant qu’elle soit efficace. En basant son travail sur les lapins, Fleming mit le médicament de côté car il pensait qu’elle serait aussi inefficace aux hommes. Bien plus tard, il l’essaya finalement sur un patient.

- Le fluor, qui cause le cancer chez les rats, fut initialement refusé pour l’utilisation humaine. Finalement, un dentiste découvrit que le fluor réduisait les caries dentaires en observant des patients qui vivaient dans des régions avec une grande concentration de fluor dans l’eau.


Et pourtant....24 heures sur 24, dans les laboratoires publics et privés d'expérimentation,
au minimum :
1 animal meurt torturé toutes les 12 secondes en France,
1 animal meurt torturé toutes les 3 secondes en Europe,
25 animaux meurent torturés chaque seconde dans le monde...


C'est le plus ignoble des commerces et un des plus nuisibles.

Pour info:

http://membres.multimania.fr/eviceba/vivisection.htm
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MessageSujet: Re: Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09   Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09 Icon_minitimeMer 28 Oct 2009 - 23:00

Désolée de causer toute seule mais c'est un sujet qui me tient à coeur...

L’expérimentation sur les animaux n’est-elle pas une étape indispensable de la recherche médicale ?

Les études cliniques et épidémiologiques réalisées sur des groupes de patients, les études sur les cadavres et les simulations sur ordinateur sont plus rapides, plus fiables, plus humaines et moins chères que les tests sur les animaux. Des chercheurs ingénieux sont parvenus à élaborer, à partir de cellules cérébrales humaines, un modèle de « microcerveau » qui permet d’étudier les tumeurs, mais aussi à créer de la peau artificielle et de la moelle osseuse. Au lieu de tuer des animaux, nous pouvons désormais faire des tests d’irritation sur des membranes d’œuf et utiliser des cultures de cellules pour produire des vaccins ou des échantillons sanguins pour les tests de grossesse. Cofondateur de Pharmagene Laboratories, une société qui met au point et teste des médicaments en s’appuyant uniquement sur des tissus humains et sur l’informatique, Gordon Baxter pose une simple question : « Dès lors que l’on dispose d’informations sur les gènes de l’homme, quel est l’intérêt de revenir au modèle animal ?
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MessageSujet: Re: Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09   Polémique sur l'expérimentation animale en Europe, Le Monde 01 09 09 Icon_minitimeJeu 29 Oct 2009 - 11:14

Et si vous avez encore un doute.....

ATTENTION VIDEO CHOQUANTE mais si parlante sur le sort déchirant de ces pauvres animaux de laboratoire.


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